Des paysages d’une inaltérable beauté, des villages où le temps s’est arrêté, des témoignages innombrables d’un passé toujours présent : notre patrimoine normand constitue une « réserve naturelle et patrimoniale de décors », comme l'explique Johanne Prat, inépuisable pour les cinéastes. C’est ce que révèle l’exposition du musée de Normandie, Action ! Le patrimoine normand au cinéma, présentée jusqu’au 21 août aux salles du Rempart, dans l’enceinte du château de Caen.
Lire cet articlePartez à la découverte de la Hague, ce cap du bout du monde, en compagnie d’un guide insaisissable, un goubelin savant et facétieux, et de la petite Mathilde, à la recherche d’un mystérieux trésor.
Lire cet articleLe musée d’Art et d’Histoire de Saint-Lô propose de faire entrer la nature au sein de cet écrin minéral qu’est le centre culturel La Source. L’exposition présente des photographies emblématiques du travail de l’artiste
Lire cet articleDe sa longue histoire géologique et humaine, la Hague a hérité de décors majestueux sublimés par une nature généreuse, doublés d’un patrimoine riche et varié : villages typiques aux maisons de granite blotties autour de leur église paroissiale, manoirs ou demeures de plaisance parfois mâtinées de forteresses, lieux de mémoire ou d’inspiration pour les artistes… Grand tour d’une petite péninsule où Jean-François Millet passa l’aurore de son existence et Jacques Prévert le crépuscule de la sienne.
Lire cet article« C’est un roc !… c’est un pic !… c’est un cap !… Que dis-je, c’est un cap ?… C’est une péninsule ! » Cette tirade fameuse, que Cyrano de Bergerac assène à la face du vicomte de Valvert pour illustrer sa platitude, s’applique à merveille à la Hague. Comme l’appendice du célèbre bretteur sorti de l’imagination d’Edmond Rostand, la presqu’île est le fer de lance du Cotentin : tournée vers le grand large, soumise aux assauts des vents et de la houle, elle semble veiller à la fois sur l’île Anglo-Normande d’Aurigny et la Grande-Bretagne.
Lire cet articleLe portrait en miniature est très prisé du XVIIe au XIXe siècle, avant d’être peu à peu remplacé par la photographie. Cet objet, intime par excellence, est le seul moyen alors pour garder en mémoire les traits d’un être cher. Les peintres miniaturistes se doivent d’être les plus fidèles possible au modèle et un Saint-Lois a excellé dans ce domaine !
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