Dans la catégorie "stephane william gondoin" :

L'abbaye de Jumièges, « la plus belle ruine de France ». (© Michel Dehaye) Extrait Patrimoine Normand n°101 Par Stéphane William Gondoin.   Autour de l’an mil, le moine bourguignon Raoul Glaber décrit un Occident revêtu d’un « blanc manteau d’églises ». En son temps, la Normandie se relève doucement des invasions scandinaves et reconstitue patiemment son clergé et son réseau de monastères. Le « manteau » y est peut-ê...

Louis Malet de Graville. 1438-1516. (© Guillaume Néel). Extrait Patrimoine Normand N°101. Caricature de Guillaume Néel. Par Stéphane William Gondoin.   Il était havrais sans le savoir, avant la lettre, puisqu’il possédait les terres sur lesquelles s’élèverait plus tard la ville neuve. En Normandie, il détenait également les seigneuries de Bernay et de Sées, sans parler de tous les domaines qu’il avait en Île-de-France. Il nous faut pré...

François Ier. 1494-1547. (© Guillaume Néel). Extrait Patrimoine Normand N°101. Caricature de Guillaume Néel. Par Stéphane William Gondoin.   Pour les 500 ans de la fondation du Havre, nous avons choisi de vous présenter deux personnages intimement liés à l’histoire de la ville. À tout seigneur tout honneur, commençons par le roi François lui-même. Bon d’accord, il n’est pas exactement normand, même s’il a quand même, comme t...

Marais Vernier. En longeant le canal de Ceinture. (© Stéphane William Gondoin) Extrait Patrimoine Normand n°101 Par Stéphane William Gondoin.   Non loin des villages d'Aizier et de Vieux-Port, que nous vous invitons à découvrir par ailleurs dans ce magazine, se trouve une vaste plaine alluviale s'épanouissant dans un ancien méandre de la Seine. Comme toutes les zones humides, le Marais Vernier abrite une riche biodiversité : flore bien sûr, mais aussi faune. Un miroir en miniatu...

Le 7 février 1517, le roi François I^lr adresse à son « aimé et fidèle cousin conseiller chambellan et chevalier de notre ordre le seigneur de Bonnyvet amiral de France », une commission lui conférant tous pouvoirs afin d’aménager un « havre et fortification au lieu de Grasse ». Cet acte fondateur marque le début de la grande aventure du port et de la ville du Havre.

Le Chrismale de Mortain. Réplique à l’identique (très bien faite) exposée en permanence dans la collégiale Saint-Évroult, durant ses heures d’ouverture. Le Chrismale original est visible uniquement dans le cadre des visites guidées organisées par l’office de tourisme. (Photos Ludwig Calleja © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°101 Par Stéphane William Gondoin.   Avec les ornementations un peu naïves qui le recouvrent, c’est un dr&o...