Les vestiges imposants du château d’Ivry-la-Bataille. (© Dominique Pitte) Extrait Patrimoine Normand n°94 Par Dominique Pitte & Érik Follain. Le château d’Ivry-la-Bataille à la veille de la guerre de Cent Ans. (© Érik Follain) La ville d’Ivry-la-Bataille ne se serait vraisemblablement pas distinguée des autres agglomérations discrètes qui parsèment la frontière orientale de la Normandie, si l’un de ses habitant...
Lire cet articleAprès l'église de la Madeleine, suite de la balade dans Verneuil.
Lire cet articleÀ l’église de la Madeleine, la tour s’offre au premier abord à l’admiration du visiteur. Qu’il vienne de Paris, Rouen, Chartres ou Argentan, des quatre points cardinaux, la tour domine le paysage à plusieurs kilomètres à la ronde. L’église construite au fond d’une immense place rectangulaire semble minuscule à côté de la tour.
Lire cet articleDans la deuxième moitié du XVe siècle, Verneuil, comme beaucoup de villes du Royaume de France, était en pleine période de reconstruction. Incendiée par les Anglais en 1356, elle avait été reconquise en 1441 par Charles VII.
Lire cet articleIl n’est pas de rivière plus fantaisiste que l’Iton qui, après maintes circonvolutions à travers le pays de l’Eure, se permet de disparaître sous terre sur plusieurs kilomètres du côté de Damville, puis de refaire surface avant de traverser la capitale : Évreux. Mais alors, voilà que ses eaux se divisent, s’écartent en plusieurs bras, jouant à cache-cache avec les habitants. Après quoi elle va se jeter langoureusement un peu plus loin dans l’Eure après avoir salué au passage le château Renaissance d’Acquigny. Évreux, « la cité jolie », est à l’image de sa rivière, calme en apparence mais d’une incroyable diversité. Avec en plus une remarquable ténacité, capable de résister aux plus effroyables des cataclysmes, de disparaître, puis de réapparaître en suivant le cours immuable du temps, comme si de rien n’était. Combien de fois cette vieille cité opiniâtre ne fut-elle pas brûlée, pillée, massacrée ! Combien de fois, disparue dans les flammes, fut-elle prise et reprise par des assiégeants en furie… pour renaître triomphante !
Lire cet articleSurplombant la vallée de l’Eure, le vaste plateau de Saint-André et de La Couture-Boussey qui s’étend de la forêt de Merey à la forêt d’Ivry, et que l’horizon barre d’un trait infini, a vu se dérouler en mars 1590 une bataille décisive.?D’un côté le « gros » Mayenne à la tête des Ligueurs du front des Catholiques ; de l’autre Henri IV et son armée de Huguenots sur la route royale qui devait le conduire vers Paris.
Lire cet article
PRATIQUE
|
ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER :NOUS SUIVREPRATIQUE
|