Que d’histoire autour de ce haut bâtiment perché au-dessus de l’estuaire. Boudin fréquenta l’auberge dès 1854 ; il y retourne en 1859 en compagnie de Courbet qui l’initie à l’audace et à la rudesse des tonalités. Cette année-là, on les retrouve tous deux aux côtés de Baudelaire qui partage leur amour des ciels et des nuages. (© Coll. Saint-Siméon) Extrait Patrimoine Normand n°129 Par Jean-Luc Péchinot. « Oh ! Saint-Siméon, il y aur...
Lire cet articleJusqu’au 10 novembre 2023, le musée Eugène-Boudin d’Honfleur et les Musées historiques du Havre vous proposent deux des trois volets d’une exposition temporaire consacrée à l’esclavage. L’occasion, pour Patrimoine Normand, de revenir sur cet aspect longtemps occulté de l’histoire de notre région.
Lire cet articleLa concurrence du Havre, puis la fin de la marine à voile font de Honfleur un port de seconde importance, et une sorte de léthargie économique s’installe à la fin du XIXe siècle. La ville reste riche en raison de son arrière-pays, mais il n’y a pas de révolution industrielle à Honfleur qui permette un développement démographique de grande ampleur.
Lire cet articleC’est durant la deuxième moitié du XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, que la ville de Honfleur connaît des aménagements qui lui donnent, peu ou prou, son aspect actuel, au moins en ce qui concerne son centre ancien autour du vieux bassin. Le roi et Colbert décident de transformer le hâvre d’échouage, qui se compose en fait de trois criques assez mal aménagées.
Lire cet articleLe port de Honfleur est sans aucun doute le plus connu de Normandie, au moins touristiquement parlant. Il ne faudrait cependant pas croire que cette ville aux hautes maisons magnifiquement conservées n’est qu’un port d’opérette. Son histoire longue et prestigieuse est généralement peu connue, d’autant que les maisons qui entourent le vieux bassin (créé sur ordre de Colbert) datent des XVIe et XVIIe siècles, alors que la ville est plus ancienne, ayant eu un rôle de premier plan dès le Moyen Âge.
Lire cet articleDans notre numéro précédent, nous avions abandonné notre Honfleurais entre les mains du nouveau détenteur de son contrat. De bien mauvaises mains d’ailleurs… Détesté par ce maître, maltraité, affamé, emprisonné dans des conditions déplorables, Exquemelin est sauvé in extremis par un gouverneur compatissant. Et le voici formé à un métier inattendu, embarquant aux côtés des flibustiers.
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