Vitrail de saint Louis en l'église Saint-Hélier de Beuzeville. (© Virginie Michelland) Vitrail de l'église Saint-Hélier de Beuzeville. On en appréciera les couleurs très chaudes. (© Viriginie Michelland) De 1953 à 1961, le maître verrier François Décorchemont (voir notre article Le verre à Conches, un savoir-faire qui perdure) réalise 19 vitraux pour l’église Saint-Hélier de Beuzeville. Sensible à l’int&eacut...
Lire cet articleLe vigneron Ludovic Messiers (© Stéphane William Gondoin). Nous vous en parlions il y a quelques temps déjà, en vous présentant le travail de Gérard Samson, viticulteur à Saint-Pierre-sur-Dives(1) : on fait à nouveau du vin en Normandie continentale, sans même parler des frères Barclay qui s’y consacrent en dépit des réticences locales dans les îles de Sercq et de Brecqhou(2). Et voici qu’un autre vigneron a choisi lui aussi de s’implanter dans l’ancien duch&eacu...
Lire cet articleDepuis 2015, l’agglomération de Flers a initié une politique de développement numérique tous azimuts afin de valoriser son patrimoine et d’augmenter sa visibilité touristique. La première application lancée, Flers virtuel : du XIXe siècle à aujourd’hui, permet notamment de redécouvrir la cité telle qu’elle apparaissait avant les grandes destructions de la Seconde Guerre mondiale.
Lire cet articleDepuis 2001 des passionnés de culture normande ont répertorié les jeux et sports normands et les ont réhabilités.
Lire cet articleChâteau-sur-Epte, une forteresse aux confins de la Normandie et de l’Île-de-France. (© Didier Faure). Extrait Patrimoine Normand n°99 Par Didier Faure & Stéphane William Gondoin. Rassemblement viking pour célébrer Litha, la fête de l’été, en 2016. La danse des épées. (© Stéphane William Gondoin) Dans notre N° 92, nous avions eu le plaisir de vous emmener à la découverte de la forteresse de...
Lire cet articleAssociations pour la langue normande (© LA FALE). C’est désormais possible : créée en janvier dernier à l’initiative de Philippe Signargout, l’association l’Emai propose des rencontres hebdomadaires à ceux qui désirent échanger dans la langue normande. Ce ne sont pas des cours, mais plutôt une sorte de « salon » où l’on entend des lectures commentées, où chacun peut s’exprimer, pour sauver ce patrimoine immatériel qui remonte aux sources des langues...
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