L’année prochaine sera celle du bicentenaire de naissance de Jules-Amédée Barbey d’Aurevilly. Nous n’avons guère l’habitude d’attendre les dates « rondes » pour célébrer les talents, et le « Connétable des Lettres » nous a déjà maintes fois accordé l’honneur de figurer en bonne place dans les colonnes de Patrimoine Normand. Il n’en est pas moins vrai que l’écrivain du Cotentin, venu au monde le 2 novembre 1808 à Saint-Sauveur le Vicomte (le jour des morts, ainsi qu’ironiquement il aimait à le rappeler !), fera l’objet dans les mois à venir de nombreux hommages : adaptation d’Une vieille maîtresse au cinéma ; conférences, livres et articles. Celui qui suit place l’auteur de ce roman et d’Une histoire sans nom dans les lieux qui les ont inspirés : du côté de Barneville-Carteret.
Lire cet articleL’année 2005 restera comme un florilège exceptionnel d’évènements autour du centenaire de la mort de Jules Verne. Expositions, conférences, films, reportages, bandes dessinées, DVD, le monde Vernien n’a jamais connu une telle mise en valeur.
Lire cet articlePour les amoureux de l’histoire, quel bonheur serait de pouvoir s’offrir un petit voyage dans le passé en guise de vacances !
Lire cet articleL’académicien Yves Pouliquen présidera les cérémonies du bicentenaire de la naissance de Barbey d’Aurevilly.
Lire cet articleAvez-vous jamais, vous qui lisez ces pages, voyagé à travers ces marais du Cotentin qui sont assez vastes pour que seulement les traverser puisse vous paraître un voyage ? Le plus parisien de nos auteurs normands n’a jamais renié ses origines cotentinaises. Bien au contraire, le célèbre dandy a toujours fait de son pays sa principale source d’inspiration. Né à Saint-Sauveur-le-Vicomte, comment eût-il pu négliger la réalité géographique de son environnement ? De la Vire à la Douve, de la baie des Veys à la lande de Lessay, les marais hantent son œuvre romanesque. Un prêtre marié, L’Ensorcelée, Ce qui ne meurt pas en ont gardé l’empreinte indélébile. Errance littéraire sur le réseau paludéen du Cotentin.
Lire cet articleQue le lecteur se rassure. Nous n’avons pas décidé d’intégrer le sport préféré des Français au patrimoine régional. Jeu éminemment respectable au demeurant, le football possède et gardera ses défenseurs ailleurs que dans ces colonnes. Par ce titre quelque peu provocateur, nous entendons simplement souligner un paradoxe de la vie caennaise : celui d’un nom régulièrement scandé à l’unisson par des milliers de Normands enthousiastes qui pourtant, en dehors des stades, ne représente plus grand chose aux yeux de nos contemporains. Alors, François de Malherbe, auteur surfait ou génie oublié ? Comme souvent en Normandie, la vérité semble bien à mi-chemin de ces extrêmes.
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