Du jamais vu à St-Lô ! Son CSI 3*1 a réuni en octobre un nombre considérable de grands cavaliers. Assurément sa plus belle affiche de tous les temps. L’effet conjugué de plusieurs facteurs.
Lire cet articleParmi les grandes villes normandes meurtries à l’été 1944, Saint-Lô est celle qui a connu les destructions les plus radicales, meurtrie à jamais, comme Le Havre où les pertes humaines ont été encore plus terribles.
Lire cet articleLe haras de Saint-Lô (© P.Y Le Meur). Extrait Patrimoine Normand N°10. Par Marie Leroux. Fief du cheval de selle français aujourd'hui mondialement reconnu, le haras de Saint-Lô est resté, depuis sa création en 1806 dans les anciens bâtiments d'un monastère annexé par la Révolution, le phare de l'élevage français et sans nul doute l'une des plus belles conquêtes normandes. Dirigé depuis 1987 par Guy Bideault par ailleurs cavalier &eacu...
Lire cet articleLe château de Canisy (© coll. de Kergorlay). Extrait Patrimoine Normand N°10. Par Georges Bernage. Au milieu d'un parc romantique, se mirant dans un étang, le château de Canisy dresse ses puissantes façades et ses cinq tours. C'est l'un des plus grands châteaux de Normandie et un lieu vivant. Depuis le XIIIe siècle, le château est resté dans la même famille. Tel qu'il nous apparaît le château de Canisy est essentiellement un grand monument du XVIe si&...
Lire cet articleÀ gauche : lettres manuscrites de Nicolas le Trésor. À droite : type d’épée portée par les officiers. (Photos Jean-Xavier de Saint Jores © Patrimoine Normand.) Extrait Patrimoine Normand n°48. Par Jean-Xavier de Saint Jores. Cet article est basé sur les archives familiales que possèdent encore les arrières petits cousins de ce capitaine d’infanterie de l’armée napoléonienne, tombé au champ d’honneur dans le sud espagnol en 1810...
Lire cet articleCette planche de l’album de Lanté et Gatine (n° 74) nous montre une bourgeoise de Saint-Lô vers 1819. Elle est coiffée du « Sabot », bonnet rond reconnaissable à sa coiffe haute et étroite, plissée et raidie par une armature et revenant habituellement vers l’avant en forme de « sabot ». Dans ses observations, L.-M. Lanté note que « bien empesés et passés au fer, le fond et le “papillon” (les volants) de ce bonnet ont pris une direction horizontale. » Il ajoute...
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