Dans la catégorie "rodolphe corbin" :

L’exposition ouverte au public, « Héraut Playmobil, raconte-nous une histoire de la Manche » mise en place aux archives départementales de la Manche présente, grâce à plusieurs centaines de figurines Playmobil, huit moments ayant ponctué l’histoire manchoise, de l’invasion romaine à la Libération de 1944.

Et si nous sortions tous fêter la Normandie, à l’occasion du week-end de la Saint Michel, les 28 et 29 septembre 2013 ! La Fête des Normands, celébrée spontanément dans toute la Normandie, est l’occasion de pavoiser de Rouge et Or notre belle région, déguster ses terroirs, costumer les enfants, décorer les commerces, les musées, les écoles, les mairies, les universités, explorer son histoire, ses villes et ses paysages, (re)découvrir enfin une multitude d’initiatives locales, ses saveurs et sa pluralité… Aux Normands de prendre des initiatives, d’organiser des festivités !

Guillaume le Conquérant a fait de son village « Cadomus » , la capitale de la Normandie et y a bâti un château et deux abbayes. Yves Guillou n’a pas conquis l’Angleterre mais il s’est battu contre les ministres, les administrations, les bourgeois, les paresseux, la paperasse et la routine.

C’est bien en Normandie, et nulle part ailleurs, que l’Impressionnisme a pris naissance. Jacques-Sylvain Klein analyse les cinq raisons principales qui expliquent cette genèse et qui permettent de comprendre que la Normandie ait généré ou accueilli tous les grands précurseurs de l’Impressionnisme. Cela est évident dans le cas de Monet, qui a écumé toute la région, du Havre à Giverny et de Deauville à Dieppe et la majorité de l’œuvre a été produite en Normandie.

Cet ouvrage raconte l’histoire de plus de cent entreprises normandes, figurant parmi les plus significatives des deux derniers siècles. Chacune de ces histoires évoque la création de l’entreprise et les principales étapes de son existence.

Il est commun d’attribuer la paternité du journal L’Aurore à Georges Clemenceau. Et pour cause, une telle personnalité devait écraser toutes les autres. En réalité, le journal dreyfusard fut fondé et dirigé par Ernest Vaughan, un normand à la personnalité atypique, vive et volontaire. C’est à lui que l’on doit la parution du retentissant « J’Accuse…! » d’Emile Zola (13 janvier 1898).