Nous avons l'habitude d'attendre l'automne pour sillonner forêts et sous-bois à la recherche de quelques-uns des fruits très convoités de la nature : les champignons. Dans cette quête forestière, cette saison apparaît comme la plus prolifique, mais le printemps et l'été favorisent aussi leurs vedettes. Sous le soleil de l'été qui s'enfuit, la terre exhale. Dépassant du lit des feuilles tombées pour un temps, le cèpe dévoile son crâne doré et son pied généreux. Finalement, qu'ils soient cèpe, girolle ou pied-de-mouton, ils n'ont d'autres envies que se montrer et s'offrir à la curiosité des uns et au palet des autres, en toute simplicité…
Lire cet articleLa bataille de Normandie s'est déroulée il y a sept décennies et pourtant, ses empreintes sont encore bien visibles sur toute l'étendue des plages du débarquement. Grâce aux étonnantes photographie de François Levalet (voir le portfolio « La Normandie sous un angle inédit », Patrimoine Normand n°83), découvrez-les sous un jour nouveau. Les intervention d'Yves Buffetaut les remettent en perspective et offrent un résumé complet des événements du D-DAY.
Lire cet articlePATRIMOINE NORMAND N°87 - Octobre-Novembre-Décembre 2013 - Cette version numérique du magazine est présentée en basse définition à titre d'aperçu. Sommaire de CE NUMÉRO COMMANDER CE NUMÉRO ...
Lire cet articleNé en 1157, il est le troisième fils d'Henri II Plantagenêt et d'Aliénor d'Aquitaine. Élevé dans les palais du sud-ouest, il est d'abord un prince aquitain, imprégné de culture méridionale. Poète à ses heures, on lui doit le poème intitulé Ja nuls hom pres non dira sa razon (Jamais un homme emprisonné n'exprimera sa pensée).
Lire cet articleJules Barbey d'Aurevilly naît à Saint-Sauveur-le-Vicomte, le 2 novembre 1808. Ce fils d'une famille de petite et récente noblesse suit ses études à Valognes, puis au collège Stanislas de Paris et enfin à la faculté de Droit de Caen.
Lire cet articleAu XIVe siècle, las de perdre la cinquième partie du bœuf, un moine de l’Abbaye-aux-Hommes à Caen, nommé Sidoine Benoist, se mit à cuisiner les estomacs du bœuf auxquels il ajouta les pieds de l'animal et des condiments aromatiques. Cette recette de base est encore celle que nous suivons aujourd’hui à l’exception du fait que ce moine ajoutait les graissons de deux rognons de bœuf. Les besoins énergétiques de l’époque étaient différents de ceux d’aujourd’hui.
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