Dans la catégorie "patrimoine religieux" :

Les embrasements traditionnels étaient innombrables en Normandie et on en trouvait autrefois pratiquement dans chaque ville, chaque village. Il existait des feux festifs cycliques, comme les bourguelées des Rois, ceux de la Chandeleur, du Carnaval, de mai ou du solstice d’été, mais aussi des feux de saints, des feux agraires, destinés à éliminer par des rituels mauvaises herbes ou vermine, des feux vengeurs ou purificateurs… Voici donc, sous un aspect brûlant, cette Normandie qui n’est point sans feux ni lieux.

Sur la rive nord de la Seine, le centre historique de Rouen est cerné de collines formant comme un amphithéâtre naturel à la « ville aux cent clochers ». Au fil des siècles, ces hauteurs se sont lentement urbanisées et organisées en paroisses, puis en communes à la Révolution. Parmi celles-ci, la cité de Mont-Saint-Aignan est née en 1819 de la fusion des communes rurales de Saint-Aignan et de Mont-aux-Malades.

Aujourd'hui, ce qui fait principalement la notoriété de Lisieux, c'est bien sûr la destinée tragique de Thérèse Martin, élevée depuis 1997 au rang des docteurs de l'Église. Née en 1873 à Alençon, Thérèse vient vivre à Lisieux avec sa famille en 1877.

Sur les hauteurs de Fontaine-la-Soret, à Nassandres-sur-Risle, l’église Saint-Martin, classée Monument historique en 1846, a traversé sans trop d’encombres dix siècles d’histoire.

Notre ami Laurent Ridel, historien normand qui a longtemps collaboré à notre revue, a décidé de se consacrer entièrement à un projet culturel original et pédagogique. Vous aimez visiter des églises, mais vous vous sentez peut-être frustré(e) à l’issue de votre cheminement dans ou autour de l’édifice ? Quel était ce personnage représenté sur tel ou tel vitrail ? Comment s’appelle ce type de voûte au-dessus de votre tête ? Il n’y a pas toujours un guide ou des panneaux pour vous donner l’explication attendue. La solution : devenir votre propre guide.

Prieuré Saint-Gabriel de Saint-Gabriel-Brécy. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°119 Par Thierry Georges Leprévost.   Élévation du chœur : grandes arcades à double rouleau au rez-de-chaussée, fausses tribunes au premier étage, qui donnent sur les combles des collatéraux ; claire-voie avec coursière au second. La sobriété du décor sculpté est caractéristique du style roman normand...