« Lumières Nordiques » est un projet artistique destiné à promouvoir la création photographique contemporaine dans les pays nordiques, avec des ouvertures vers la vidéo et le cinéma. Cette année, c’est le Danemark qui est à l’honneur, avec cinquante œuvres de huit photographes danois, chacun exposé dans une des salles du logis abbatial de l’abbaye de Jumièges.
Lire cet articleL’exposition présentée au musée des Traditions et Arts normands offre un panorama sur la production de grès du XVe siècle au XXe siècle dans le pays de Bray, en regard de la création contemporaine normande.
Lire cet articleQui pourrait deviner, en roulant sur les boulevards de Rouen, qu’il longe les remparts de l’enceinte du XIVe siècle ? C’est pourtant lors de travaux sur la place Saint-Hilaire, que des vestiges de la porte du même nom ont été mis au jour. Cet ouvrage fortifié jouera un rôle majeur lors de la guerre de Cent Ans et durant les guerres de Religion.
Lire cet articleLes embrasements traditionnels étaient innombrables en Normandie et on en trouvait autrefois pratiquement dans chaque ville, chaque village. Il existait des feux festifs cycliques, comme les bourguelées des Rois, ceux de la Chandeleur, du Carnaval, de mai ou du solstice d’été, mais aussi des feux de saints, des feux agraires, destinés à éliminer par des rituels mauvaises herbes ou vermine, des feux vengeurs ou purificateurs… Voici donc, sous un aspect brûlant, cette Normandie qui n’est point sans feux ni lieux.
Lire cet articleSur la rive nord de la Seine, le centre historique de Rouen est cerné de collines formant comme un amphithéâtre naturel à la « ville aux cent clochers ». Au fil des siècles, ces hauteurs se sont lentement urbanisées et organisées en paroisses, puis en communes à la Révolution. Parmi celles-ci, la cité de Mont-Saint-Aignan est née en 1819 de la fusion des communes rurales de Saint-Aignan et de Mont-aux-Malades.
Lire cet articleOn le sait : le premier empereur des Français entretenait avec les îles des relations pour le moins… compliquées… Depuis le démontage de sa statue du parvis de l’hôtel de ville de Rouen, afin de l’envoyer en restauration, une lancinante petite musique se faisait entendre pour ne pas l’y réinstaller, mais plutôt pour expédier le personnage méditer sur ses « mauvais actions » à la pointe de l’île Lacroix.
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