Familièrement appelé le « Monumental », le cimetière rouennais du nord-est fut ouvert en 1828. Réservé aux élites, par le prix de ses concessions perpétuelles, il a permis à celles-ci d’affirmer leur réussite jusque dans la tombe. Véritable cours d’architecture funéraire, cet ensemble de tombeaux correspond à toutes les formes et tous les styles en usage lors de son apogée, à la charnière des XIXe et XXe siècles.
Lire cet articleDans notre numéro précédent, nous avions abandonné notre Honfleurais entre les mains du nouveau détenteur de son contrat. De bien mauvaises mains d’ailleurs… Détesté par ce maître, maltraité, affamé, emprisonné dans des conditions déplorables, Exquemelin est sauvé in extremis par un gouverneur compatissant. Et le voici formé à un métier inattendu, embarquant aux côtés des flibustiers.
Lire cet articleEntre Gruchet-le-Valasse et Lillebonne, dans une boucle de la vallée du Commerce, subsiste une partie des bâtiments de l’abbaye cistercienne Notre-Dame-du-Vœu, dite « du Valasse », au cœur d’un vaste domaine arboré. On est loin de l’image habituelle d’une abbaye médiévale, l’église ayant disparu et les bâtiments étant de style classique.
Lire cet articleAvant de poser définitivement ses valises à Giverny et de se consacrer à aménager son célèbre jardin et à le peindre sous tous les angles, le maître impressionniste aimait à poser son chevalet au gré de ses errances, volontaires ou forcées. Ses déboires financiers le contraignirent notamment, en 1866, à gagner Sainte-Adresse où ses parents possédaient une propriété.
Lire cet articleInlassable pourfendeur de la pauvreté et des injustices sociales, qui ne connaît Henri Grouès ? Né à Lyon et mort à Paris, c’est pourtant dans un petit coin de terre normande, dans la commune cauchoise d’Esteville, qu’il a choisi de reposer.
Lire cet articleEn cette année du 80e anniversaire de la tristement célèbre rafle du Vél d’Hiv, le travail de l’artiste allemand Gunther Demning prend une dimension particulière. Depuis les années 1990, ce Berlinois scelle devant le dernier domicile connu de victimes de la barbarie nazie, ce qu’il appelle des Stolpersteine (singulier Stolperstein) que l’on peut traduire en français par « pierre d’achoppement ».
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