Alliance entre l’eau et la pierre, le château de Médavy offre au visiteur un bâti datant des XVIe et XVIIe siècles et dont les douves sont alimentées par l’Orne passant à ses pieds. Superbe bâtisse et élégant équilibre d’une architecture très « Grand Siècle », ce château revit grâce aux efforts et au courage de son propriétaire qui nous invite à parcourir ce bel édifice à travers ces pages.
Lire cet articleDepuis l’ère gallo-romaine, les hommes n’ont jamais cessé de sculpter à leur guise le site de Fontaine-la-Soret. Longtemps siège d’un important prieuré qui dépendait de l’abbaye du Bec-Hellouin, la paroisse est aujourd’hui plus connue pour la magnificence de ses jardins ; une évolution qui ne semble pas près de s’arrêter. Tout cela grâce à la route et au chemin de fer : preuve qu’il arrive parfois au « progrès » de servir le patrimoine et l’esthétique.
Lire cet articleOn connaissait la légende des Oies de Pirou mise en forme par Claude Pithois en 1977, puis sa traduction en normand par Alphonse Allain depuis la parution d’un numéro spécial bilingue de la revue de Bricquebec La Voix du Donjon en 2000, et enfin le CD du groupe Magène édité en 2004.
Lire cet articleUne vision transposée de l’Italie telle qu’elle fut rêvée et réalisée par le cardinal Georges d’Amboise tout au début du XVIe siècle, ainsi se présente aujourd’hui le château de Gaillon dans l’Eure — actuellement en période de réhabilitation — comme un joyau de la Renaissance. Ce qui subsiste de cette demeure à l’élégance princière et qui étonne dès que l’on arrive devant le haut pavillon d’entrée, malgré les dégradations subies au cours des ans et malgré l’inconscience des hommes, est comparable aux fastes des châteaux de la Loire dont il fut d’ailleurs le précurseur.
Lire cet articleUne étude critique de quelques représentations de la forteresse au XIXe siècle.
Lire cet articleEst-ce l’épilogue du lamentable feuilleton de la pseudo-restauration du donjon de Falaise ? Le 24 novembre dernier, le Tribunal correctionnel de Caen a condamné Bruno Decaris à 3000 euros d’amende. Pas, comme on pouvait l’espérer, pour offense au patrimoine monumental normand, mais pour simple infraction au code de l’urbanisme ! Un banal défaut de déclaration de travaux, doublé d’une réalisation en zone protégée.
Lire cet article
PRATIQUE
|
NOUS SUIVRE![]() ![]() ![]() ![]() PRATIQUE
|