Ça y est, voici la dernière ligne droite : après avoir été retenue parmi les quatre villes finalistes pour le statut très envié de « Capitale européenne de la Culture » en 2028, la métropole normande sera bientôt fixée sur sa destinée.

Cette année, le festival de l’excellence normande se tiendra au parc des expositions de Rouen, du vendredi 20 au dimanche 22 octobre.

Cette exposition est le fruit d’une collaboration exceptionnelle entre Karine Saporta et le musée des Beaux-Arts et de la Dentelle. La chorégraphe, considérée comme l’une des figures majeures de la danse contemporaine française, poursuit également une brillante carrière de photographe.

Au XIXe siècle, le trousseau de mariage est en usage dans toutes les classes sociales, et sa qualité reflète le statut de la future épouse. Confectionné par la jeune fille qui a été formée aux travaux d’aiguille dès son plus jeune âge, le trousseau présente le linge de maison, le linge de corps et le menu linge tels que les bonnets, les coiffes et les mouchoirs de cou. L’exposition du musée des Traditions et Arts normands porte notamment sur l’étude et la présentation d’un exceptionnel trousseau complet, acquis en 2020 auprès de la collectionneuse Jacqueline Le Guell.

Au sommaire : Val de Saire ; Poterie de Bavent ; Abbaye de Mondaye ; Le safran ; Palais Bénédicition à Fécamp ; Palais ducal de Lillebonne ; Eté 1944...

Pour la douzième édition de sa Biennale de sculpture, le Jardin des sculptures de Bois-Guilbert, créé par Jean-Marc de Pas en 1985, accueille une centaine d'œuvres de trente artistes contemporains, mises en scène dans une scénographie d'ensemble, dans le Jardin des sculptures et la Galerie du château.