Dans la catégorie "caen" :

Caen - La rue Froide vue du nord. Au fond, le clocher de Saint-Sauveur. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand.) Extrait Patrimoine Normand n°18. Par Isabelle Audinet.   Pour poursuivre notre visite de Caen, débutée par le quartier de l’église Saint-Etienne-le-Vieux, la rue Ecuyère, et enfin le quartier Saint-Sauveur, nous voici de nouveau dans un des vieux quartiers de Caen, à quelques centaines de mètres de Saint-Sauveur, la Rue Froide. Le clocher de Sa...

La statue de Louis XIV en est l'un des ornements avec le clocher de Saint-Sauveur. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°13. Par Georges Bernage.   Dans notre précédent numéro, nous avions visité le quartier de l'église Saint-Étienne-le-Vieux et la rue Écuyère. Nous visiterons cette fois le quartier Saint-Sauveur qui a pour ornement la plus belle place de Caen. Un marché à l'abri des remparts Comme nous l'avons vu dan...

L'église Saint-Étienne-le-Vieux - Caen (photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°12. Par Georges Bernage.   Situé à l'ouest de la vieille ville de Caen, ce quartier était dominé par l'église Saint-Étienne-le-Vieux qui s'appuyait sur l'enceinte de la cité. Au cœur de ce quartier, la rue Écuyère, qui rejoint la rue Saint-Pierre, a gardé un charme intact et des boutiques bien en rapport avec la qualité de so...

Clochers de l'église Saint-Sauveur-du-Marché (à gauche) et de l'Abbaye-aux-Hommes (à droite) - Caen (photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°12. Par Georges Bernage.   Malgré les destructions de 1944, Caen possède encore un patrimoine considérable. Caen entre 1620 et 1655, d'après une gravure de Gomboust publiée dans la « Topographia Galliae » de Merian. Nous voyons nettement le château et le Bourg-le-Roi qui s'&ea...

Notre dernière relation avait laissé les frères la Guérinière à la fin des années 1720 (voir article Pierre et François Robichon de La Gueriniere, Patrimoine Normand n°04). L'aîné, Pierre, a créé à Caen, dans la ténèbre de sa province natale, l'Académie équestre dont il rêvait, son cadet d'un an, François, a mis en selle Louis XV sous la lumière de Versailles.

Pour la plupart des Caennais, la Guérinière évoque la reconstruction des années 1950, injonction d'un quartier au sud de la ville, taillé à grands coups de règles sur un plan. Paradoxalement, ce quartier médiocre architecturalement s'est développé sur le terrain d'un homme chez qui le raffinement naturel servait à merveille sa connaissance de l'art équestre.