Bien des visiteurs du Cotentin ignorent, encore aujourd’hui, l’existence d’un port à Carentan. Il est vrai que l’ancienne cité médiévale est enclavée dans les marais, relativement loin du littoral. Pourtant, dès le Moyen âge, un port est attesté à Carentan. Du fait du caractère particulier de ce coin de Normandie, le transport maritime et fluvial s’imposera très tôt pour permettre de rallier facilement les différentes bourgades des marais. En effet, jusqu’à la politique d’assèchement des marais, les voies terrestres sont impraticables une partie de l’année. Le bateau reste alors le meilleur moyen de transport pour les voyageurs et les marchandises.
Lire cet articleQuand la Normandie ne va pas au monde, c’est le monde qui vient à la Normandie ! Devenu un rendez-vous majeur dans notre région depuis Les Voiles de la liberté de 1989, le rassemblement de « vieux gréements » rouennais aura lieu cette année du 8 au 18 juin.
Lire cet articleDe nos jours, le château-musée de Dieppe abrite une collection d’environ 2000 objets en ivoire, fabriqués principalement aux XVIIe et XVIIIe siècles, quand la ville cauchoise atteignit l’apogée de sa prospérité économique. Alors dotée d’un port actif, elle abritait de très nombreux ateliers d’artisans spécialisés dans le travail de cet « or blanc ». Une tradition qui semble puiser ses origines loin dans le temps, au XIVe siècle.
Lire cet article9 février 1942 : un long hiver s’est abattu sur la planète, avec une minuscule luciole loin loin au fond d’un tunnel : après l’attaque sur Pearl Harbour, les États-Unis sont entrés en guerre contre le Japon, et Hitler, avec sa « clairvoyance » coutumière, s’est empressé de déclarer la guerre à l’Oncle Sam, donnant corps à l’oracle formulé par de Gaulle, qui annonçait dans son appel du 18 juin : « Nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force mécanique supérieure. » Et dans cette « force mécanique », il y a un paquebot français, Normandie, qui hélas prend feu ce jour dans le port de New York.
Lire cet articleLa Cité de la Mer accueille au sein de son parcours permanent « Titanic, retour à Cherbourg », 53 objets remontés du champ de débris qui entoure la fameuse épave à 3 800 m de profondeur. Ces souvenirs personnels ou pièces du paquebot, exposés pour la première fois en France, offrent un voyage à travers le temps, dévoilant l’art de vivre de la Belle Époque et les destins étonnants de passagers, dont certains ont embarqué à Cherbourg le 10 avril 1912.
Lire cet articleÀ l’heure où nous écrivons ces lignes, nous n’avons pu assister à la cérémonie symbolique de la pose du premier élément de la Mora, réplique du navire qui emmena un certain Guillaume le Conquérant en Angleterre, par un jour de septembre 1066.
Lire cet article
LE MAGAZINEPRATIQUE
|
LE MAGAZINEPRATIQUE
|