Cent ans, tous ses mâts et cordages, toutes ses voiles et vergues : le Marité, devenu l’un des emblèmes de la ville de Granville, a soufflé ses cent bougies le 24 juin dernier. C’est en effet le 24 juin 1923 que ce superbe terre-neuvier fut béni à Fécamp par le goupillon de l’abbé Lecadre.
Lire cet articleLa concurrence du Havre, puis la fin de la marine à voile font de Honfleur un port de seconde importance, et une sorte de léthargie économique s’installe à la fin du XIXe siècle. La ville reste riche en raison de son arrière-pays, mais il n’y a pas de révolution industrielle à Honfleur qui permette un développement démographique de grande ampleur.
Lire cet articleC’est durant la deuxième moitié du XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, que la ville de Honfleur connaît des aménagements qui lui donnent, peu ou prou, son aspect actuel, au moins en ce qui concerne son centre ancien autour du vieux bassin. Le roi et Colbert décident de transformer le hâvre d’échouage, qui se compose en fait de trois criques assez mal aménagées.
Lire cet articleBien des visiteurs du Cotentin ignorent, encore aujourd’hui, l’existence d’un port à Carentan. Il est vrai que l’ancienne cité médiévale est enclavée dans les marais, relativement loin du littoral. Pourtant, dès le Moyen âge, un port est attesté à Carentan. Du fait du caractère particulier de ce coin de Normandie, le transport maritime et fluvial s’imposera très tôt pour permettre de rallier facilement les différentes bourgades des marais. En effet, jusqu’à la politique d’assèchement des marais, les voies terrestres sont impraticables une partie de l’année. Le bateau reste alors le meilleur moyen de transport pour les voyageurs et les marchandises.
Lire cet articleQuand la Normandie ne va pas au monde, c’est le monde qui vient à la Normandie ! Devenu un rendez-vous majeur dans notre région depuis Les Voiles de la liberté de 1989, le rassemblement de « vieux gréements » rouennais aura lieu cette année du 8 au 18 juin.
Lire cet articleDe nos jours, le château-musée de Dieppe abrite une collection d’environ 2000 objets en ivoire, fabriqués principalement aux XVIIe et XVIIIe siècles, quand la ville cauchoise atteignit l’apogée de sa prospérité économique. Alors dotée d’un port actif, elle abritait de très nombreux ateliers d’artisans spécialisés dans le travail de cet « or blanc ». Une tradition qui semble puiser ses origines loin dans le temps, au XIVe siècle.
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