Dans la catégorie "pays d'auge" :

La rivière Orbiquet, s’étire sur 30 kilomètres, et prend sa source à La Folletière-Abenon. Un site charmant se profile à l’entrée du village. (Photo Rodolphe Corbin © Patrimoine Normand) Extrait Patrimoine Normand n°128 Par Virginie Michelland.   Si elle fait aujourd’hui le bonheur des promeneurs et des pêcheurs, une rivière est d’abord un atout au service d’une économie locale dynamique. Au cœur du pays d’Auge, l’Orbiquet est un cas d’é...

Dans leur petit moulin d’Orbec, bercé par l’Orbiquet, Cécile Clavier et Michel Chrétien ont accueilli fin août leur 1000e visiteur. Une consécration méritée, pour une aventure au long cours débutée en 2020.

Un patrimoine vivant est un héritage précieux, où le geste est tout un art, et un vecteur essentiel de transmission… Au cœur du pays d’Auge, la poterie du Mesnil-de-Bavent perpétue un savoir-faire entre terre et ciel : celui de la confection d’épis de faîtage.

L’univers d’Éric Othon emprunte à la fois à l’histoire, à l’histoire de l’art et aux richesses infinies de l’imaginaire. Des rageurs grimaçants aux blasons de pierre, le sculpteur façonne et restaure inlassablement des figures surgies du Moyen Âge.

La concurrence du Havre, puis la fin de la marine à voile font de Honfleur un port de seconde importance, et une sorte de léthargie économique s’installe à la fin du XIXe siècle. La ville reste riche en raison de son arrière-pays, mais il n’y a pas de révolution industrielle à Honfleur qui permette un développement démographique de grande ampleur.

C’est durant la deuxième moitié du XVIIe siècle, sous le règne de Louis XIV, que la ville de Honfleur connaît des aménagements qui lui donnent, peu ou prou, son aspect actuel, au moins en ce qui concerne son centre ancien autour du vieux bassin. Le roi et Colbert décident de transformer le hâvre d’échouage, qui se compose en fait de trois criques assez mal aménagées.