Du printemps 1076 à la fin de l’été 1080, Guillaume réside en Normandie. Depuis la conquête, c’est l’un de ses plus longs séjours en son pays natal. Cette absence prolongée d’Angleterre est rendue possible grâce au retour au calme consécutif à l’exécution de Waltheof. Cet événement a calmé presque définitivement les humeurs saxonnes. C’est une absence nécessaire, car le vieil ennemi du duc-roi, le traître et comploteur Ralph de Gaël, réfugié sur ses terres en Bretagne, a repris ses intrigues, et il convient pour le duc d’aller rétablir l’ordre sur ses marches occidentales.
Lire cet articleÀ Ger, le musée de la Céramique est implanté au village du Placître qui se situe à 4 km du bourg. Le centre potier de Ger qui, au milieu du XIXe siècle comptait plus de 700 ouvriers sur son territoire, était le plus important de tout le Sud Manche. Cet artisanat y est mentionné dès le XIVe siècle.
Lire cet articleAprès avoir abordé Trouville dans le premier volet, nous nous tournons maintenant vers la localité voisine, Deauville, qui chercha à se différencier des autres stations balnéaires de la Normandie. Cette originalité est bien sûr clairement visible à travers les modèles d’affiche et vues proposés ici.
Lire cet articleVous êtes nombreux à nous réclamer des informations sur le « château de Damigny » où votre magazine est créé. Il est donc temps de vous faire découvrir la riche histoire de ces lieux.
Lire cet articleLa facilité, au quotidien, avec laquelle nous nous procurons l’eau nous a fait oublier à quel point elle est vitale mais aussi difficile à trouver dans un milieu proche du milieu naturel. La civilisation gallo-romaine, essentiellement dans les villes et villages, ajoute au puits gaulois une eau courante abondante distribuée à tous. L’archéologie préventive a permis la découverte, en Seine-Maritime, de nombreuses fontaines dont la variété tant technique qu’esthétique est particulièrement remarquable.Ceci illustre la richesse d’une architecture encore trop souvent considérée comme mineure.
Lire cet articleSi l’on excepte Paris, où il a fait carrière, deux villes ont compté pour Jules-Amédée Barbey d’Aurevilly : Saint-Sauveur-le-Vicomte où il est né en 1808, et Valognes qui a abrité ses premiers émois amoureux, où la fuite du temps l’a ramené tardivement comme vers une vieille maîtresse. A tel point que, après les destructions de 1944, la Versailles normande (qui comptait au Grand Siècle une centaine d’hôtels particuliers) ne cultiverait plus que la nostalgie d’une gloire révolue s’il n’y survivait le souvenir du Connétable des Lettres.
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