Dans le hameau de Saint-Lambert (Neuilly-la-Forêt) , au bord de la rivière l’Elle et près de la voie ferrée « Cherbourg-Paris », se trouve, dans une propriété privée, un bâtiment exceptionnel. Redécouvert il y a quelques années, il était caché sous un énorme roncier. Bâtiment hexagonal sur une base carrée avec un toit en pierre, seraient-ce les restes d’un colombier seigneurial ?
Lire cet articleMaison typique normande dans le Marais Vernier (© Eric Bruneval). Extrait Patrimoine Normand N°10. Par Jean de Longaunay. Dès la préhistoire, la Seine a coupé un méandre laissant une falaise de calcaire au sud de ce méandre qui fut lui-même envahi par les eaux. Les deux cornes de la falaise surplombant ce méandre abandonné vont devenir des points stratégiques. À l'ouest, un éperon calcaire domine l'estuaire du grand fleuve, et l'estuaire de la Ris...
Lire cet articleNous poursuivons notre promenade dans l’ancienne paroisse Saint-Malo, là où nous l’avions laissée à l’entrée de la rue Franche…
Lire cet articleLithographie de Maugendre montrant de droite à gauche, l'hôtel de ville, la chapelle de l'Évêque puis la cathédrale en arrière plan. Depuis le XIXe siècle, les lieux ont peu changé sauf la lanterne de la cathédrale (© Ville de Bayeux). Extrait Patrimoine Normand N°11. Par Christiane Huet Professeur d'Histoire au Lycée Chartier. Au pied de la cathédrale de Bayeux subsiste la plus grande partie de ce qui était l'un des plus beaux et plus grands palai...
Lire cet articleBayeux conserve un patrimoine totalement préservé et tellement dense qu’on peut passer une semaine entière à le découvrir : rue, ruelles, cours et arrière-cours réservent bien des surprises, des témoignages architecturaux remontent au XIIIe siècle pour les plus anciens, mais aussi à l’époque gallo-romaine pour des éléments de remparts et au XIe siècle pour des éléments de la cathédrale. C’est une vraie « grammaire des styles » où il est possible de s’entraîner à savoir dater les édifices.
Lire cet articleOuvrir les yeux, se laisser séduire par une architecture originale, inattendue, il n'en faut pas plus pour retrouver un architecte presque totalement oubliée en moins de 50 ans. Pourtant Camille Albert est arrivé à Fécamp en 1882, à l'âge de 30 ans, et il y est décédé pendant la dernière guerre. Il a donc vécu 60 ans dans cette ville qu'il a su marquer de façon indélébile, l'œuvre de l'artiste est présente au détour des rues de Fécamp et la campagne environnante est jalonnée de somptueux châteaux commandés par de puissants bourgeois. Quelques photos, un rapide aperçu des étapes de sa carrière aideront à comprendre le savoir-faire et l'originalité de cet architecte talentueux.
Lire cet article
LE MAGAZINEPRATIQUE
|
LE MAGAZINEABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER :NOUS SUIVREPRATIQUE
|