Le ministre de la Culture et de la Communication a répondu à la lettre indignée qu’une de nos lectrices lui avait fait parvenir à la suite de notre article dans le numéro précédent de Patrimoine Normand. Nous publions quelques extraits de ce courrier très officiel, lamentablement édifiant : « J’ai attiré l’attention de Monsieur le Préfet de la Manche (…) sur la nécessité de préserver l’environnement tant du manoir d’Argences dont le pigeonnier est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques, que de ses jardins. »
Lire cet articlePatrimoine en danger : la destruction du pont Barbey à Barneville-Carteret
Lire cet articleMenaces sur les jardins d’Argences : jusqu’où ira-t-on dans le massacre du patrimoine ?
Lire cet articleInexpugnable du haut de la falaise, le château de Tancarville, toujours aussi fier malgré les outrages du temps et les malversations des hommes, domine depuis des siècles la vallée de la Seine. Que d’histoires, que de transformations au cours de toutes les périodes plus ou moins troublées qu’il a traversées, ayant connu successivement le règne des ducs de Normandie, l’occupation anglaise, la guerre de Cent Ans, les guerres de religion, la soumission enfin au drapeau à fleur de lys, le saccage des révolutionnaires, puis l’abandon, la ruine !… Il aura tout vu, tout subi, ce château prestigieux que la végétation étouffe progressivement. Et voilà qu’on lui prépare une nouvelle destinée. De quoi faire trembler ses vieilles murailles démantelées…
Lire cet articleAutrefois, le voyageur qui sillonnait la Manche et plus particulièrement le Cotentin, était frappé par le nombre, inhabituel de par son importance, de maisons en terre que l’on pouvait y rencontrer. Cette architecture particulière et remarquable, faisait d’ailleurs écrire à Arthur Young, dans ses voyages en France de 1792, qu’« en ce pays, on construit les meilleures maisons et granges en terre (...) excellentes habitations même lorsqu’elles ont trois étages, et toute en terre avec d’importantes granges et autres dépendances…». Ce patrimoine est malheureusement, aujourd’hui en péril.
Lire cet articleDu Manoir de Langle à Hotot-en-Auge, il ne restait que la charpente calcinée du rez-de-chaussée, et la cheminée, qu’il a fallu abattre pour des raisons de sécurité. (Photo Victor Letournelle © Patrimoine Normand.) On l’appelait le Manoir de Langle, le Manoir du Lieu Gervais, ou tout simplement le Vieux Manoir. Dans la nuit du 26 au 27 mars, la foudre a transformé en un amas de ruines, de cendres et de bois calciné, cette habitation rurale, construite par la famille de la Rivière à la fin du XVe s...
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