Un si petit village en haut de la falaise au pied duquel coulait jadis la Seine sinueuse… Une si modeste église recélant des merveilles d’un autre âge, resplendissantes… Nous voulons parler de Saint-Jean-d’Abbetot et de son église aux admirables peintures murales des XIIe et XIIIe siècles, uniques par leur fraîcheur naïve malgré certaines dégradations.
Lire cet articleDe nos jours on est tout étonné, au détour d’un coin de rue, de se trouver nez à nez avec une construction en briques datant fin XIXe, début XXe siècle, plus ou moins bien rénovée, enchâssée dans le béton d’Auguste Perret. Au moment de la Reconstruction elles ont été jugées encore assez solides pour être réhabilitées. Six de ces immeubles portent encore à leur seuil un vestige du temps où les rues et trottoirs n’étaient pas asphaltés et où les chevaux distribuaient généreusement leur crottin : un gratte pieds, ou décrottoir.
Lire cet articleOn vient à Étretat surtout pour admirer les merveilles de la nature, célèbres dans le monde entier, que sont les étonnantes falaises et la non moins surprenante aiguille qui, selon Maurice Leblanc, recèlerait les trésors cachés du royaume de France.
Lire cet articleToutes les églises de nos campagnes offrent un patrimoine singulier vers lesquels nos yeux se lèvent avec curiosité. Toutes révèlent une histoire riche et passionnante dans chaque village, si humble soit-il, avec leurs pierres imbibées de foi et de chants sacrés, et toutes ne demandent qu’à restituer ce souffle sacré aux amateurs venus les visiter.
Lire cet articleLa Normandie fut dès le début du XIXe siècle une des destinations privilégiées des touristes, première région touristique française, ce que nous rappelle une exposition bien de saison, au musée de Normandie.
Lire cet articleIl était une époque pendant laquelle les habitants de Normandie se paraient de costumes colorés tandis que les femmes portaient des coiffes plus ou moins extravagantes. Cela n’a duré qu’un temps, de la Révolution de 1789 jusqu’en 1870 environ. Nous voulons évoquer ici les petites gens et certains bourgeois de la campagne car à la ville et surtout à la cour on ne se privait pas d’excentricités. À cette époque, chaque pays normand, chaque village, chaque paroisse même avait son costume caractéristique, sa coiffe typique et on s’habillait pas de la même façon dans le bocage virois, dans le pays de Caux ou dans le Vexin normand.
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