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Au sud de la Halle aux Toiles, la place de la Basse-Vieille-Tour a perdu son âme, suite à la Seconde Guerre mondiale, mais pas seulement…

Après avoir présenté dans deux précédents nu­mé­ros quelques as­pects du passé médiéval du château de Lillebonne1, il restait à évoquer son histoire la plus récente. Ne pouvant prétendre à la noblesse de l’âge, la vaste demeure du XIXe siècle, connue sous le nom de « château Langer », possède néanmoins celle du style.

Situé dans le quartier Saint-François au Havre, la maison de l’Armateur (voir notre article dans Patrimoine Normand n° 59, août 2006) a repris vie définitivement depuis le mois de septembre dernier et elle est désormais ouverte au public.

Les études préliminaires de ce parc à thème, axé sur le développement durable, ont permis la découverte, ou plutôt la localisation, d’une glacière architecturée.

Superbe entre toutes, autrefois, seconde ville du royaume de France, Rouen, la grande cité normande, présente encore un patrimoine exceptionnel mais qui a été amputé sévèrement par les bombardements de 1940 à 1944. Mais, dès le XIXe?siècle, les travaux d’aménagement urbain ont ravagé une partie de ce patrimoine.

Depuis le début de la réhabilitation de l’abbaye de Montivilliers, celle-ci n’a cessé de s’embellir grâce à des travaux soutenus dans l’esprit même des artisans d’antan, jusqu’à devenir le reflet retrouvé du passé, parfaitement intégrée dans notre environnement moderne. Au point qu’on ne serait pas le moins du monde étonné d’apercevoir aujourd’hui quelques moniales déambuler parmi la foule les jours de marché, ou trottiner le long de la Lézarde en route vers quelque mission sacrée.