S’il est un lieu typique de sa région normande dans son environnement agreste et paysager, c’est bien le territoire du « Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande » de chaque côté des méandres de la Seine. Ce vaste espace a été créé en 1974 autour de la forêt de Brotonne, poumon vert entre Le Havre et Rouen. Il s’appelait alors « Parc Naturel Régional de Brotonne ». Depuis, beaucoup de choses ont évolué et le parc a considérablement grandi. Il comprend à ce jour depuis La Bouille jusqu’au phare Saint-Samson-de-la-Roque, y compris le marais Vernier, 81 000 hectares et 72 communes des départements de l’Eure et de la Seine-Maritime. À l’aube de cet automne 2004 et à l’occasion du 30e anniversaire du parc, fêté avec faste et avec des nombreuses activités de plein air au pied des vénérables tours de l’abbaye de Jumièges, il était question de faire le point sur le travail accompli et les réalisations et de jeter un regard sur l’avenir où l’environnement et la préservation du patrimoine naturel et culturel restent des orientations privilégiées.
Lire cet articleTout au nord de la Normandie, tout au bout du ruban cristallin de la Bresle, et au débouché d’une forêt fastueuse, des souvenirs de princes et de princesses, de rois et des reines qui ont hanté ces lieux interpellent le visiteur avec toujours autant d’intensité. Dans des effluves de lys, la ville d’Eu que voilà est riche d’un passé historique exceptionnel : témoin du mariage d’un duc normand conquérant qui allait bientôt devenir roi d’Angleterre, berceau de toute une génération qui régna sur la France, demeure favorite du roi Louis-Philippe qui y scella avec la Grande-Bretagne le départ de « l’Entente Cordiale » dont on fête cette année le centenaire. C’est pourquoi cette région, que la situation extrême, géographiquement parlant, que l’on pourrait croire éloignée de tout, a été au contraire le centre d’une brillante activité politique et la rencontre obligée de bien des têtes couronnées.
Lire cet articleDu XIIe siècle est parvenue jusqu’à nous une maison civile en pierre, en pierre du pays, dans un bourg du pays de Caux, jadis constitué d’habitations en pans de bois, comme c’était courant dans cette région à cette époque, voilà qui contraste quelque peu. La maison des Templiers à Caudebec-en-Caux a toujours été une maison singulière depuis sa fondation, rare bâtiment civil de ce style aux fenêtres ogivales et gargouilles. Elle constitue donc un remarquable témoin de l’Histoire, non seulement par elle-même, de par sa qualité architecturale ; toujours debout malgré son grand âge (plus de 800 ans !), mais aussi par ce qu’elle contient aujourd’hui : un musée local exceptionnel par sa diversité, vitrine de la vie locale depuis ses origines.
Lire cet articleNous avons découvert dans notre dossier consacré à Lisieux, la magnifique Maison Plantefor (aujourd'hui « Manoir de la Salamandre ») démontée à Lisieux en 1889 et remontée à Étretat, nous l’avons suivie à la trace…
Lire cet articleDans la riante vallée de Pannevert, à Rouen, il est une rivière qui court en chantant, le Robec ; le long de cette rivière, il est un vieux moulin, si vieux qu’il ne se souvient plus très bien combien de temps il a tourné et combien de sacs de blé il a pu moudre durant sa longue et laborieuse vie.
Lire cet articleExtrait Patrimoine Normand N°06 Par Eric Bruneval Extrait des falaises du pays de Caux ou ramassé à l'état de galet sur la plage, le silex a été largement utilisé dans l'architecture de cette région Fenêtre du Palais Bénédictine, à Fécamp. Exemple de la polychromie jouant sur les matériaux : briques de couleur, silex noir, pierre, caractéristique du pays de Caux (photo E.Bruneval). Le pan de bois qui symbolise l'habitat normand n'est pas...
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