La Normandie possède encore les vestiges de nombreux manoirs médiévaux, mais peu d’entre eux sont connus du public. Le récent sauvetage du manoir du Catel, à Écretteville-les-Baons, nous permet de découvrir un monument étonnant, bâti à la fin du XIIIe siècle par l’abbaye de Fécamp et tenant, par son architecture, de la maison-forte ou du petit château.
Lire cet articleDans notre n°48, nous étions partis à la découverte du bonnet cauchois et nous avions pris l’exemple de celui d’Yvetot, le Pierrot. Voici maintenant un exemple plus occidental.
Lire cet articleInexpugnable du haut de la falaise, le château de Tancarville, toujours aussi fier malgré les outrages du temps et les malversations des hommes, domine depuis des siècles la vallée de la Seine. Que d’histoires, que de transformations au cours de toutes les périodes plus ou moins troublées qu’il a traversées, ayant connu successivement le règne des ducs de Normandie, l’occupation anglaise, la guerre de Cent Ans, les guerres de religion, la soumission enfin au drapeau à fleur de lys, le saccage des révolutionnaires, puis l’abandon, la ruine !… Il aura tout vu, tout subi, ce château prestigieux que la végétation étouffe progressivement. Et voilà qu’on lui prépare une nouvelle destinée. De quoi faire trembler ses vieilles murailles démantelées…
Lire cet articleNous avons découvert, dans le précédent numéro, le superbe bonnet cauchois centré autour d’Yvetot, rapprochons nous maintenant de Rouen.
Lire cet articlePlanche n° 9 de l’album de Lanté et Gatine dessinée en 1819. Le commentaire de cette planche, montrant une cauchoise portant le bonnet d’Yvetot, note : « Ce bonnet est assujetti par une grosse épingle ; mais rarement on fixe ainsi un bonnet dans le pays de Caux. » La robe est à la mode du temps, seul le bonnet est une caractéristique locale. Il est ici, typique d’Yvetot, c’est un Pierrot, couronné à son sommet d’une barbe de dentelles serrée en son milieu comme une gerbe de blé, les bar...
Lire cet articleLangoureusement coule la Seine. Fleuve mythique et mystérieux, elle coupe en deux la Normandie en de lents courants ondulants. Entre Rouen et la mer, sur une distance de quelque 130 km, avant les travaux d'endiguement, la Seine-Maritime constituait jadis une sorte de longue rade intérieure avec des hauts fonds et des fosses plus ou moins profondes qui rendaient la navigation périlleuse. Actuellement, si son parcours offre moins de danger pour les bateaux, il nécessite quand même le concours de pilotes expérimentés. Mais depuis toujours, ce fleuve vivant s'est docilement prêté aux passages des hommes entre ses deux rives, malgré ses bancs mouvants et chenaux capricieux.
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