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Étant à Lisieux nous en étudierons le costume traditionnel, très proche de celui de Pont-l'Évêque, formant ainsi un style « augeron ».

Comme chaque année à la fin de l’été, après la saison des courses, Deauville est une magnifique vitrine de la Normandie ouverte sur le monde. Cette année marquait plusieurs anniversaires : le 60e Anniversaire du Débarquement et le 30e Anniversaire du Festival. A part la présence de Susan Eisenhower et le passage chaque jour des épisodes de Band of Brothers, l’évocation du premier fut sobre, tout autant que celle du second. Ce fut une année relativement classique.

Lisieux est bâtie au confluent de la Touques et de l’Orbiquet, encadrée de collines à l’orient et au ­cou­chant. Dès l’époque gauloise, un site proche du centre-ville actuel, à trois kilomètres au sud-ouest, l’oppidum du Castellier, est le siège de la tribu gauloise des Lexoviens, les Lexovii. Cette importante tribu gauloise est citée par César dans ses Commentaires.

À l’occasion d’une exposition d’été au musée à Honfleur, nous sortirons momentanément de notre cadre des études des formes locales du costume normand.

La chapelle de Notre-Dame de Fidélité abrite un véritable trésor. En 1931, René Lalique y dépose son talent. Le chœur devient alors un lieu de recueillement totalement porté par la lumière. Après plusieurs années d’oubli, l’œuvre de Lalique est aujourd’hui restaurée. Visite guidée dans un lieu hors du commun.

Dans nos précédents articles, nous avions vu l’essor du tourisme et des stations balnéaires en Normandie mais une autre particularité de cette période est aussi la naissance d’une architecture propre à ces sites.